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Freelance et salariée : comment concilier deux activités ?

29 décembre 2019

Création d'entreprise

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Formatrice business pour les métiers du service et de l'accompagnement sur le web.

Ce que ça veut dire au juste : j'aide les solopreneurs à monter leur activité sur le web, trouver (des tas) de clients... et construire un business qui leur donne envie de sauter du lit tous les matins !

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 Maëlane

Il est tout à fait possible d’être freelance et salarié.

De nombreuses personnes font chaque année le choix de créer leur entreprise sans quitter leur travail. C’est peut-être l’option que vous envisagez à court ou moyen terme.

C’est en effet une bonne idée pour préparer en douceur la transition vers l’entrepreneuriat, et se donner le temps de tester son idée de business.

Pourquoi choisir de cumuler les statuts auto-entrepreneur et salarié ?

Les avantages du cumul auto-entrepreneur et salarié

Le cumul auto-entrepreneur et salarié présente des avantages certains pour créer votre entreprise.

Il vous permet en effet de tester votre activité tout en maintenant votre emploi. Vous pouvez alors vous assurer que l’entrepreneuriat est fait pour vous, et que ton idée d’entreprise est prometteuse.

Autre avantage majeur : conserver une certaine stabilité financière, sans avoir la pression du chiffre d’affaires. Vous pouvez démarrer votre activité tranquillement et prendre le temps de bâtir sérieusement les fondations de votre activité, sans vous préoccuper outre mesure du montant que vous allez facturer les premiers mois de votre activité.

Cette solution convient très bien aux personnes qui ont besoin être rassurées et soutenues (notamment financièrement !) pour mener à bien leurs projets. Sauter dans le vide sans sécurité, ce n’est pas pour tout le monde… Il est important de comprendre qu’il n’y a pas une seule façon de créer son entreprise, ni une seule vision/ambition entrepreneuriale. Chacun son rythme ! 

[À lire également : Création d’entreprise : pourquoi se faire accompagner ?]

Les inconvénients du cumul auto-entrepreneur et salarié

Bien sûr, ce cumul auto-entrepreneur et salarié n’est pas sans inconvénients. Il va falloir prendre garde à te ménager : tu ne peux décemment pas remplacer entièrement ta vie personnelle, tes loisirs, ta vie sociale et familiale, par ton projet de création d’entreprise. Tu risques de multiplier les heures, te sentir épuisée, ou encore te renfermer.

Le cumul auto-entrepreneur et salarié peut ainsi avoir des répercussions importantes sur ta vie professionnelle et personnelle : c’est une problématique qui doit être sérieusement réfléchie.

Il est important de bien comprendre que tu ne vas pas pouvoir développer ton projet d’entreprise aussi vite que souhaité. Il va falloir être patient, et y aller (très) progressivement.

Cumul auto-entrepreneur et salarié : est-ce légalement autorisé ?

Démystifions tout de suite la chose : OUI, la loi autorise tout à fait le cumul auto-entrepreneur et salarié. Votre secteur d’activité (libéral, commercial, artisanal…) et la nature de contrat de travail (CDI, CDD…) sont indifférents.

C’est d’ailleurs dans cet esprit-là qu’a été créée par la micro-entreprise : mettre à la disposition des salariés, étudiants et demandeurs d’emploi un tremplin pour tester une activité indépendante.

[À lire également : Être auto-entrepreneur, ça veut dire quoi ?]

Aujourd’hui, près de 30 % des auto-entrepreneurs sont également salariés (chiffres INSEE). Cela explique d’ailleurs que le revenu mensuel moyen en micro-entreprise ne soit que de 440 €.

Attention, les règles diffèrent quelque peu pour les fonctionnaires, qui sont généralement tenus de demander une autorisation à leur hiérarchie.

Il existe également des exceptions à la règle. Certaines activités sont exclues d’office du régime auto-entrepreneur. C’est le cas notamment des professions libérales réglementées, telles que celles de la santé ou de la justice.

Les clauses à vérifier dans votre contrat de travail

La loi autorise le cumul auto-entrepreneur et salarié, mais votre contrat de travail peut cependant y poser des limites. Deux clauses sont ici à observer : la clause d’exclusivité, et la clause de non-concurrence.

Attention, ces clauses-là peuvent également se retrouver dans la convention collective à laquelle vous dépendez.

La clause d’exclusivité

La clause d’exclusivité vous interdit d’exercer une autre activité professionnelle rémunérée en dehors de votre emploi.

Pour être valable, la clause doit être « justifiée par la protection des intérêts stratégiques de l’entreprise ». En clair : elle doit avoir une vraie utilité au vu de l’activité de l’entreprise.

Lucky you, cette clause peut être levée pendant un an à compter de la création de votre micro- entreprise. L’employeur n’est pas autorisé à empêcher totalement la création de votre entreprise (et entre nous : encore heureux).

La clause de non-concurrence

La clause de non-concurrence vous interdit d’exercer une activité similaire à celle de l’entreprise qui vous emploie.

Pour être valable, elle doit être limitée dans le temps, dans l’espace et dans le domaine d’activité. En clair, elle doit être particulièrement précise.

Faites particulièrement attention à cette clause, qui peut vous coûter très cher (surtout si vous occupez un poste stratégique dans l’entreprise qui vous emploie). En cas de doute, n’hésitez pas à vous faire conseiller par un professionnel.

Il est possible de lever « à l’amiable » une clause de non-concurrence en vous mettant d’accord avec votre entreprise. En général, cela revient cher…

Auto-entrepreneur et salarié : attention à l’obligation de loyauté

Même si rien n’est prévu dans votre contrat de travail, vous restez soumise, en tant que salariée, à une obligation de loyauté envers votre employeur.

Cela signifie que :

  • Vous ne devez pas développer votre business pendant vos heures de travail (même si je sais que c’est tentant !).
  • Vous ne devez pas utiliser le matériel de votre employeur pour développer votre entreprise.
  • Vous ne devez pas dénigrer l’entreprise qui vous emploie, ni mener une concurrence déloyale. Cela signifie concrètement que vous n’avez pas le droit de piquer les clients de l’entreprise pour laquelle vous travaillez… Ni débaucher vos collègues. 😉

Autre question : devez-vous informer votre employeur de la création de votre micro-entreprise ?

La réponse est double :

  • Oui, si vous comptez créer une entreprise dans le même secteur d’activité et/ou avoir les mêmes clients. Par exemple, si vous souhaitez devenir coiffeuse auto-entrepreneur pendant votre temps libre, alors que vous travaillez actuellement dans un salon de coiffure. Ce n’est pas parce que vous n’avez pas de clause de non-concurrence dans votre contrat que vous êtes 100 % libre.
  • Non, si votre projet n’a rien à voir avec votre emploi salarié. Par exemple, si vous êtes comptable dans votre entreprise et que vous souhaitez devenir rédactrice web en parallèle.

Un manquement à ce devoir de loyauté peut entraîner votre licenciement ou le paiement de dommages-intérêts. On ne plaisante pas avec ça !

Enfin, sachez que votre devoir de loyauté ne s’arrête pas à la cessation de votre contrat de travail. Vous n’avez pas le droit de vous adonner à une concurrence déloyale à l’égard de votre ancien employeur. À noter que concurrence déloyale n’est pas la même chose que concurrence tout court.

Les conséquences du cumul auto-entrepreneur et salarié

Les conséquences sociales : une double affiliation

En cumulant deux activités, une activité salariée et une activité indépendante, vous cotisez à deux caisses d’assurance maladie différentes. Cela veut dire que vous allez payer des cotisations sociales au titre de votre emploi salarié, tout en en payant sur votre chiffre d’affaires.

Toutefois, le remboursement de vos soins est effectué par une seule caisse, celle dont vous releviez avant d’exercer plusieurs activités. Votre droit d’option vous permet cependant de choisir la caisse que vous préférez pour vos remboursements.

Bon à savoir : depuis 2020, tous les auto-entrepreneurs dépendent du Régime général de la Sécurité Sociale, i.e le même régime que les salariés. Le RSI a disparu (attention à lire des sources à jour de la réforme). Il n’empêche que vous cotisez pour vos deux activités à la fois.

Les conséquences fiscales : une double imposition

De la même façon, vos revenus subissent une double imposition :

  • Une imposition de vos salaires dans la catégorie « Traitements et salaires » (comme avant).
  • Une imposition de votre chiffre d’affaires dans la catégorie BIC ou BNC.

[À lire également : Que paie-t-on lorsque l’on est auto-entrepreneur ?]

Freelance et salariée : le témoignage de Lucy 

Moi c’est Lucie, j’ai 23 ans et je tiens le blog LaMinuteLucy (aujourd’hui Creative Bloom) depuis bientôt 3 ans. Je parle du digital dans sa globalité : création et gestion d’un blog, réseaux sociaux, freelancing, organisation et parfois même un peu de développement personnel. 

À côté de mon statut de « blogueuse », je suis également salariée à temps partiel et Community Manager freelance. Ma vie est bien remplie comme tu peux le constater.

Je suis ravie que Maëlane m’ait invitée pour parler de mon expérience sur le cumul freelance et salarié, je pense que ça fait du bien d’entendre les histoires des autres, ça motive, ça inspire, ça prouve que tout est possible avec un peu de volonté. 

On va commencer par un bref récapitulatif de façon chronologique pour que tu comprennes mieux mon histoire.

Mon parcours : du BTS à l’envie de devenir freelance

Début 2017, je suis dans ma deuxième année de BTS Commerce International et je développe un attrait pour les réseaux sociaux et le marketing digital. Je souhaite poursuivre mes études dans ce domaine alors je décide de créer un blog pour me « faire la main » avant le début de ma formation. 

C’est comme ça que mon blog nait en Mars 2017. J’y parle de choses plutôt futiles : mode, beauté, déco… Et puis ma formation débute en Septembre 2017, une année bien remplie : je deviens étudiante et blogueuse. Déjà 2 casquettes, ça promet ! 

En Septembre 2018, à la fin de mes études en marketing digital, je me retrouve au… chômage ! Je cherchais du travail en tant que Community Manager et il m’a fallu environ 4-5 mois pour trouver. Entre 2018 et 2019,  la ligne éditoriale de mon blog prend un autre tournant : je décide de parler exclusivement de digital, d’organisation et de développement personnel.

En Janvier 2019, j’entre dans une entreprise en tant que salariée, je me déplaçais à 45mins de chez moi. Avec la distance, je partais tôt et rentrais tard, et j’étais payée une misère pour au final faire bien plus que ce que prévoyait mon contrat.

Il faut savoir que l’idée de devenir freelance me trottait en tête depuis quelques mois déjà, grâce au parcours de certaines nanas que je suivais comme Julia de I Don’t Think, I Feel

Dans ce fameux premier job, j’ai rencontré 2 personnes freelance qui m’ont venté les mérites de ce statut : « Tu seras ton propre patron », « Tu fixes toi même tes tarifs », « Tu es libre de travailler quand et où tu veux »… Alors l’idée a commencé à germer tout doucement.

Fin Mars 2019, mon contrat se termine et je décide de partir. L’idée c’est de trouver un autre boulot « en attendant » pour assurer financièrement et créer mon entreprise en même temps.

Être freelance et salariée : à la recherche d’un équilibre

En Mai 2019, je suis contactée par une entreprise dans laquelle j’ai eu un contrat saisonnier il y a deux ans. C’est une grosse entreprise et j’accepte d’y travailler en tant que conseillère de vente pour quelques mois. Rien à voir avec mon job de CM mais en attendant, l’argent rentre. C’est un contrat à temps plein, 37h par semaine et il est convenu que je travaille jusqu’en Août 2019.

Un petit mois plus tard, le 1er juin 2019, je décide de créer mon entreprise pour être déclarée Community Manager freelance. Je deviens donc officiellement freelance et salariée.

J’avais déjà fait des démarches auprès de Pôle Emploi, la BGE et la CCI auparavant, mais pas de prise en charge assez bonne et rapide selon moi alors je me lance… seule. Tout se passe très rapidement : je reçois mon numéro de SIRET et pas mal de paperasse qui me souhaite la bienvenue dans le monde de l’entrepreneuriat.

Je me documente beaucoup pour être certaine de ne rien louper. Je découvre d’ailleurs de chouettes blogs comme celui de Maëlane ou celui de Stéphanie de J’aime La Paperasse.

Juillet – Aout 2019 : le néant. C’est une période calme pour les freelances à ce que j’ai cru comprendre mais j’en profite pour me former un peu.

La vérité, c’est que j’ai du mal à me lancer officiellement pour chercher des clients, je ne sais pas trop comment m’y prendre et surtout : j’ai peur. Peur de ne pas être crédible, de ne pas avoir assez de connaissances, de manquer de temps avec mon job à temps-plein.

Je laisse couler un peu et prépare secrètement une stratégie de communication. J’ai déjà mon blog et mon compte Instagram alors je mise tout sur la stratégie de contenu pour faire connaître mon activité de freelance.

Et comme prévu, en Septembre, Octobre, Novembre et Décembre, j’ai accumulé plusieurs contrats pour du Community Management, du consulting réseaux sociaux ou encore du référencement.

D’ailleurs, à cette période, mon CDD en tant que salarié devait se terminer en Août mais j’ai souhaité poursuivre en mi-temps pour que ce soit plus gérable. J’ai continué en temps plein en Septembre et mon mi-temps a début de Octobre 2019 à Janvier 2020 en 28h par semaine.

Pourquoi choisir d’être freelance et salariée ?

On me pose souvent la question alors que pour moi c’est une évidence : j’aime le risque et sortir de ma zone de confort mais j’aime aussi la sécurité. C’est pour ces deux raisons a priori inconciliables que j’ai choisi d’être freelance et salariée.

Être freelance et salarié pour continuer à gagner de l’argent

Avoir une entrée d’argent constante était indispensable pour moi. J’ai la chance de ne pas avoir de loyer à payer ni d’enfants à nourrir mais j’aide mon papa pour les courses, je paye mon assurance voiture et tout ce qui tourne autour (un vrai gouffre d’ailleurs), mon téléphone, mes achats perso/pro… etc.

Je voulais absolument être indépendante là dessus et ne pas devoir puiser dans mes économies. Tant que je me sens capable de cumuler différents jobs, je préfère le faire ! 

Être freelance et salarié pour préparer les mois « sans »

Tu dois certainement le savoir mais, l’entrepreneuriat c’est très hétérogène. C’est possible de bien gagner sa vie mais aussi de gagner très peu certains mois.

Je voulais continuer à avoir une entrée d’argent pour mettre le maximum de côté de ne pas devoir m’inquiéter le jour où je serai Freelance à 100%.

Je préfère être prête que de devoir paniquer à la dernière minute en me disant « mon activité ne décolle pas, il faut vite que je trouve un travail qui va m’apporter une stabilité ». Ne pas avoir assez d’argent de côté, c’est le risque d’être « obligé » de quitter l’entrepreneuriat rapidement. 

Honnêtement, être freelance et salarié c’est largement possible. Peut-être pas pendant des années et à temps complet des deux côtés, mais sur plusieurs mois pourquoi pas.

Par contre, il faut savoir ne pas compter ses heures, accepter d’être fatiguée, accepter que certains jours seront meilleurs que d’autres. Moi qui me plaignais souvent de « m’ennuyer » avant d’avoir tout ça (blog, job, entreprise), maintenant je ne m’ennuie plus jamais bizarrement !

Les avantages et inconvénients du cumul freelance et salarié

C’est très très enrichissant ! Je ne cesse de le dire, je n’ai jamais autant appris que depuis que je ne vais plus à l’école.

Créer mon blog m’a énormément appris, j’ai développé beaucoup de compétences dans différents domaines : le graphisme, la communication, le marketing, le référencement…

Lorsque j’ai ajouté à ça mon job de salarié dans la vente, j’ai appris l’importance de la cohésion d’équipe, la relation client, la négociation, la découverte de mon client…

Et le jour où je suis devenue auto-entrepreneur, j’ai appris à gérer des contrats, créer des devis, des factures, gérer des paiements, gérer un planning, être organisée au niveau administratif.

Cette année 2019 a été riche en rebondissements mais elle a été merveilleuse et je pèse mes mots.

Il y a des jours où j’ai été fatiguée, il y a des jours où j’ai pleuré, soit de joie soit de peur. J’ai travaillé tard, j’ai travaillé tôt, j’ai oublié de prendre des pauses, et même parfois de manger… (et c’est vraiment pas bien).

Pour moi, le gros inconvénient d’être freelance et salarié, c’est qu’on doit gérer et être à fond tout le temps dans tous les domaines.

Dans mon job de salarié, il y a des objectifs à réaliser, il faut se challenger constamment, être souriante, ne pas montrer sa fatigue ou sa mauvaise humeur.

Pour mon activité de blogueuse, je dois être présente tous les jours, créer du contenu constamment, être créative, répondre aux messages.

Et en freelance, je dois gérer une comptabilité, gérer ma relation avec les clients, réfléchir à une stratégie, créer, planifier, relancer.

Autant te dire que mon cerveau est pire qu’en ébullition parfois. D’ailleurs, j’essaie de ne pas cumuler mes 3 activités dans une même journée sinon c’est l’horreur haha.

Sauter le pas pour devenir freelance à 100%

C’est mon objectif pour 2020. Il va falloir que je me fasse confiance et que j’accepte de quitter la stabilité financière. J’économise depuis plusieurs mois pour avoir une enveloppe assez conséquente pour atterrir les mois où peu d’argent rentre.

Évidemment, je suis entrain de repenser mon contenu de blog pour que celui-ci ne soit plus exclusivement gratuit. Ça fait bientôt 3 ans que j’alimente mon blog avec des articles qualitatifs qui contiennent, à eux réunis, des milliers de mots. Tout ce contenu, qui représente une 100aine d’articles, est gratuit, gratos, free !

Mais si je veux vivre de cette activité de blogueuse & de freelance, il va falloir que je pense à créer du contenu qui sera payant. Je pense notamment aux formations, plus poussées qu’un article, elles pourront aider les novices à développer leurs réseaux sociaux, leur blog grâce à un accompagnement de A à Z…

Et évidemment, il va falloir que je prospecte pour trouver des clients qui ont des besoins auxquels je peux répondre. Je compte beaucoup sur mon blog et sur le contenu que je crée au quotidien, c’est mon nouveau CV. En 2020 j’ai aussi envie de m’impliquer un peu plus sur LinkedIn. Déjà car ce réseau regorge de passionnés en tout genre mais aussi car il est axé sur le professionnel et j’ai besoin de cette « vitrine » plus pro pour mon activité que simplement un blog et un compte Instagram.

Au moment où j’écris ces lignes, on est en plein mois de Décembre 2019 et je fais le bilan de mon année pour me fixer des objectifs encore plus ambitieux pour 2020 ! Cette année, j’ai envie d’encore plus sortir de ma zone de confort, expérimenter, me challenger. Des erreurs et des jours sans il y en aura, mais ils seront forcément bénéfiques sur le long terme.

2020, here I come !

Maëlane, merci de m’avoir fait une petite place sur ton blog. Ça été un plaisir et j’espère avoir pu motiver quelques personnes ! Encore un petit message : N’hésitez pas à vous documenter, soit via des blogs, des vidéos, des formations et n’hésitez pas à aller parler aux personnes dont le parcours vous intéresse. Si vous souhaitez discuter avec moi, ce serait avec plaisir, je vous invite à me rejoindre sur Instagram sous le pseudo @lucie_eripret.

Si des questions vous viennent après la lecture de ce témoignage, n’hésite pas à contacter Lucie sur son site web ou sur Instagram. Je vous invite également à lire ses articles sur l’entrepreneuriat, pleins de bons conseils et de transparence.

Cumul auto-entrepreneur et salarié : ce qu’il faut retenir

Après la lecture de cet article, voici les éléments que vous devez retenir :

  • Le cumul auto-entrepreneur et salarié est autorisé par la loi. 30 % des auto-entrepreneurs le sont en parallèle de leur emploi.  
  • Il faut cependant que vous regardiez ce qu’indique votre contrat de travail ou votre convention collective. Certaines clauses peuvent en effet limiter cette possibilité.
  • N’oubliez pas non plus votre devoir de loyauté à l’égard de votre employeur. Vous devez respecter votre emploi, et ne pas faire de concurrence déloyale.
  • En cumulant auto-entrepreneuriat et salariat, vous êtes soumise à un double régime social et fiscal, correspondant à chacune de vos deux activités.
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