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Ils ont tout quitté pour se lancer dans l’entrepreneuriat

27 octobre 2021

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Formatrice business pour les métiers du service et de l'accompagnement sur le web.

Ce que ça veut dire au juste : j'aide les solopreneurs à monter leur activité sur le web, trouver (des tas) de clients... et construire un business qui leur donne envie de sauter du lit tous les matins !

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CRÉATION D'ENTREPRISE

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MICRO-ENTREPRISE

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VIE D'ENTREPRENEUR.E

 Maëlane

“Qu’est-ce qui t’a poussé à entreprendre et quitter la voie classique ?”

C’est la question que j’ai posée à 14 élèves de la Micropreneure Academy, à l’occasion d’un épisode de podcast collaboratif. Voici un épisode 100% good vibes et motivation, pour rassurer ceux qui ne rêvent que d’une chose : se lancer à leur tour. 🙏🏻

Rejet du salariat, envie de préserver sa vie personnelle, retrouver du sens au travail, adopter un rythme en accord avec sa personnalité… Il existe autant de raisons que d’entrepreneurs, et je trouve ça tellement intéressant de découvrir les histoires et motivations de chacun.

Pouvoir avoir un quotidien professionnel qui respecte son rythme et sa personnalité

“Ce qui m’a poussé à devenir entrepreneure c’est que je n’étais pas du tout faite pour le salariat. J’ai bien essayé, j’ai fait tout ce que je pouvais mais ce n’était pas fait pour moi. Je ne me sentais pas à ma place, pas épanouie. J’étais très frustrée. J’allais au travail à reculons. J’ai compris qu’il fallait que je fasse quelque chose et que je crée mon propre business. La deuxième raison qui m’a poussée à créer ma micro-entreprise c’est aussi parce qu’en étant hypersensible, il y avait énormément de domaines qui m’intéressaient et je ne savais plus vers lequel me tourner. En étant en micro-entreprise, je pouvais explorer pas mal de ces secteurs : la comptabilité, le management, la gestion… et ma passion pour les réseaux sociaux.”

Emilie

“J’ai commencé par la voie classique mais en tant qu’hypersensible, je ne me suis jamais vraiment sentie à ma place en entreprise. J’étais très consciencieuse et perfectionniste. Je faisais donc le travail comme il m’était demandé mais ça ne voulait pas dire pour autant que je me sentais bien dans mes baskets et à ma place. Les stimulations extérieures étaient trop fortes. Les sollicitations étaient trop nombreuses pour moi, pour mon mode de fonctionnement. Je vivais un réel mal-être. Je me sur-adaptais en permanence. Ça a créé beaucoup de stress et de fatigue. Le fait de travailler à mon compte, c’est une idée que j’avais depuis longtemps mais je ne savais pas pour quoi faire au départ. Finalement, une fois que j’ai trouvé le coaching, ça m’a semblé une évidence. Ça me permet de travailler avec qui je le souhaite, comme je l’entends mais surtout de pouvoir organiser mes journées pour pouvoir respecter au mieux mon rythme. Ça me permet d’être libre et de travailler plus en harmonie. C’est la voie la plus adaptée à qui je suis.”

Mélanie

“J’ai trouvé dans le freelancing et dans l’entrepreneuriat une approche différente du travail, un moyen d’être entièrement et complètement moi, de ne pas me réduire ni nier ce que j’étais et de faire quelque chose qui comptait, d’utile, qui avait du sens. C’était un moyen pour moi d’atténuer les jeux de pouvoir qu’on peut retrouver dans les jobs salariés.”

Marie-Alix

Vouloir replacer sa vie personnelle au centre

“A ce jour, je suis encore salariée mais j’ai décidé de créer mon entreprise parce que mon quotidien ne m’épanouissait plus à 100%. Je n’avais plus envie de courir après le temps, ou après des objectifs chiffrés. Après pas mal de mois d’introspection, je me suis rendue compte que j’avais envie de remettre ma vie personnelle au centre de mon quotidien et d’être libre dans l’organisation de mon temps / de mon organisation.”

Mathilde

“Après plus de 15 ans dans le salariat dans des boulots répétitifs et sans grand intérêt pour moi, j’ai décidé qu’il fallait que ça change. La réflexion a été longue et semée d’embûches. En premier lieu, je voulais changer de métier et être plus alignée dans mon quotidien. Ensuite, je souhaitais sortir d’un système de management parfois oppressant et infantilisant. Je voulais garder mon énergie pour moi, pour un quotidien dans lequel je pourrai trouver un sens. L’entrepreneuriat me permet avant-tout de me respecter moi-même, en tant que personne, au sein de mon domaine professionnel.”

Mylène

“J’ai eu l’idée de cette reconversion suite à une dépression et une remise en question totale de ma vie au printemps 2021. En me lançant en tant qu’indépendante, j’avais beaucoup de peurs liées au confort qu’apporte le salariat : retraite, chômage… Je suis passée par le deuil de ne plus compter sur ces avantages et je me suis lancée. L’avantage de l’auto-entrepreneur est bien plus attrayant : flexibilité des horaires, charge mentale réduite, possibilité de gérer ses priorités. Ma charge mentale de cadre salariée était trop présente pour un travail qui n’avait plus de sens pour moi. J’ai remis du sens dans ma vie professionnelle, avec une reconversion totale. Je suis passée d’un métier de scientifique à la relation d’aide. Je suis passée du salariat, à l’entrepreneuriat.”

Nadia

Retrouver la liberté

“Si j’ai fait le choix de l’entrepreneuriat c’est parce que je rêve depuis toujours de travailler à la maison. Je voulais être libre de mes horaires de travail… J’adore travailler le soir / la nuit et quand on est salarié, on a la plupart du temps des horaires assez classiques de 9h à 17h. Ça ne me convenait pas du tout.”

Mélanie

“Avant de me lancer, j’ai travaillé pendant 12 ans en tant que responsable de service. Ce travail ne me correspondait plus, il n’était pas aligné avec mes valeurs et avec qui j’étais. Je devenais de plus en plus aigrie, désagréable… toujours en colère. Je ne me reconnaissais plus dans ce travail. En avril 2021, mon patron m’annonce que je ne serai plus responsable de ce service à partir du 1er septembre. Au début, c’est un peu la douche froide. Mais je me dit que c’est l’opportunité pour enfin pouvoir me lancer. Ça faisait 9 mois que je préparais la création de mon entreprise. Au 1er septembre c’était parti ! D’une situation qui pouvait faire peur, c’est devenu ma bouée de sauvetage. Je me sens épanouie, heureuse, alignée avec qui je suis et comment je veux articuler ma vie.”

Béatrice

“Je ne me sentais plus à l’aise avec le salariat. Je n’étais plus épanouie dans mes missions. J’en avais marre de travailler pour quelqu’un d’autre. Je ne savais pas quoi faire à la place du salariat mais j’ai eu un déclic en travaillant dans une chambre de commerce. Je devais accompagner des chefs d’entreprise dans leurs projets. A ce moment là, je me suis dit que je pouvais faire pareil. Quand on débute, le plus difficile c’est de se créer une routine adaptée à soi, à ses besoins, à ses habitudes, à son rythme de vie. On n’a pas l’habitude de travailler seul, de chez soi. En testant, on arrive à créer cette organisation. On va apprendre à se connaître soi, ça va être d’autre plus formateur.”

Mélissa

“J’ai choisi de me lancer dans l’entrepreneuriat pour plusieurs raisons. La première c’est de pouvoir réaliser mes propres projets, des projets qui me tiennent à coeur et me passionnent. La deuxième raison c’est de pouvoir avoir la vie que je souhaite : travailler où je veux, quand je veux et à ma façon. La dernière raison c’est de pouvoir être libre financièrement : je ne suis pas plafonnée et je peux gagner autant que je veux.”

Maëva

“J’ai été 27 mois en salariat avant de me lancer. Je travaillais en région parisienne et étant originaire du Nord, ça a été très compliqué pour moi de vivre là-bas. Je n’ai fait aucune rencontre et je suis très peu sortie. Suite à ces 27 mois, j’ai fait un burn-out et j’ai ressenti ce besoin de liberté géographique. J’ai été éloigné de la vie que j’aimais donc quitte à changer de vie, j’ai quitté le salariat et mon secteur d’activité pour revenir à ma passion : le voyage. La volonté de liberté était trop forte et je ne regrette rien ! Je suis très épanouie aujourd’hui dans mon activité.”

Aurélie

Réagir aux codes du salariat

“Être indépendant a été un passage presque obligatoire. Je ne supportais plus ma vie professionnelle comme elle l’était. Je ne trouvais de sens à pas grand chose dans les entreprises dans lesquelles j’ai pu travailler. J’ai été commercial en grande distribution alimentaire. Je parcourais tout le Grand-Ouest pour vendre des produits et j’ai senti que ce n’était pas de cette manière là que j’avais envie de contribuer au monde. Je me suis retrouvé floué plusieurs fois, j’ai appris un peu l’envers du décor. A partir de là, j’ai senti que ça devenait viscéral, je n’arrivais plus à me lever… Ça a été le début d’un long périple.”

Florian

“Avant de me lancer en tant qu’entrepreneure, j’ai travaillé dans une grande agence de pub à La Défense. Dans ce secteur, tout le monde court après le temps. Dans mon agence de pub, soit je travaillais jusqu’à 23h dans les périodes de rush, soit c’était une période de creux où on fait juste acte de présence. A cette période là, je me posais énormément de questions. Je m’étais rendue compte que mon patron, bien que sympa, était incompétent. Je me suis demandée si c’était fait pour moi de travailler pour des personnes et de devoir subir l’incompétence d’autres. A ce moment là, je commençais à réfléchir à mon projet puis j’ai été propulsée par mon copain et par la crise sanitaire qu’on a traversé.”

Daphné

“Pendant ma dernière année de salariat, j’ai fait un burn-out. C’est cet événement qui m’a fait prendre conscience que l’entrepreneuriat était fait pour moi. J’ai réalisé que j’étais sur-investie dans l’entreprise dans laquelle je travaillais parce que j’en parlais comme si c’était mon entreprise, comme si tout ce que je faisais avait un impact sur la société alors qu’en réalité, j’étais juste salariée, un pion parmi tant d’autres. Les décisions que je mettais en place n’avaient pas tant d’impact que ça. Je savais que changer de job n’était pas non plus la solution. Je savais très bien que ce comportement allait se reproduire. Ça m’a donc paru évident qu’il fallait que je monte mon projet à moi, quelque chose qui correspond à 100% à mes valeurs. J’avais envie de me donner à fond dans un projet qui m’anime.”

Emeline

Si vous souhaitez écouter cet article sur votre plateforme de podcast préférée, c’est par ici :

Bonne écoute !

Un grand merci à @biz.designer @_mylene_fleury_naturopathie @zestfully___ @bea_gazeau @audacieuses_amazones @citrons.et.carnets @happinux @florian.goldenmonkey @laplumerose.fr @gdtp.podcast @leclouduvoyage @the.socialgram @mariealixdagry @aimetacom.fr pour leurs témoignages !!

Vous pouvez retrouver tous ces entrepreneurs sur Instagram. Ils seront ravis d’échanger avec vous 🙂

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