Vous êtes de plus en plus nombreux à vous intéresser aux revenus dits « passifs ». Et pour cause : c’est la promesse de gagner de l’argent même quand on est occupé à faire autre chose.
Rien à voir, par exemple, avec l’activité de freelance, qui nécessite votre présence et votre implication lors d’une mission pour recevoir une rémunération.
Après 6 mois d’exploration des revenus passifs à travers le business model du membership, il m’a paru important de faire un bilan complet. Spoiler alert : les revenus passifs sont certes très intéressants pour un entrepreneur… Mais ils n’ont rien de passif !
Le revenu passif, c’est le fait de recevoir de l’argent qui ne demande pas notre participation active.
Pour rappel, générer un revenu passif ne se pas fait “sans rien faire”, c’est plutôt le fait de pouvoir gagner de l’argent même quand on fait autre chose.
Parmi ces revenus passifs, il y a ceux qui nécessitent un capital de base (des fonds à placer, un appartement à louer) et ceux qui peuvent être construits seuls (actifs créés : formation en ligne).
Ici, on se concentre principalement sur les revenus des produits numériques.
Quand on est salarié ou freelance en 1:1, on perçoit des revenus quand on vient au travail ou quand on travaille pour un client.
La différence, c’est que le freelance qui part en vacances ne perçoit plus aucun revenu… Ce trou dans la trésorerie amène automatiquement du stress puisqu’on ne peut compter que sur des actifs/ressources qui ne nous appartiennent pas !
Travailler en 1:1 avec un client c’est vendre son temps, et arrive un moment où l’emploi du temps n’est pas extensible. Résultat : on est limité à un nombre de clients et à un certain chiffre d’affaires.
La solution ici serait de faire du 1 to many, pour :
C’est une bonne stratégie à mettre en place en freelance car on diversifie ses revenus.
Une partie avec des prestations 1:1 et une partie avec des revenus passifs pour sécuriser les rentrées d’argent.
J’ai dû mal avec cette notion de revenus “passifs”… Elle est bien souvent utilisée par les vendeurs de rêve pour jouer sur les souffrances (travail pénible, ennui, manque d’argent), elle est compliquée à mettre en place, on n’a pas forcément beaucoup de résultats financiers et quoi qu’on en dise… ce n’est pas passif !
Aujourd’hui je vis d’un modèle dit de « revenus passifs » qui est la Micropreneure Academy, sauf que :
La construction et « l’entretien » d’une audience est difficile, chronophage, incertain, surtout si on considère qu’on convertit entre 2 et 4% de notre audience à chaque lancement.
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