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TOP 5 des décisions business qui n’ont pas fonctionné

1 novembre 2023

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Formatrice business pour les métiers du service et de l'accompagnement sur le web.

Ce que ça veut dire au juste : j'aide les solopreneurs à monter leur activité sur le web, trouver (des tas) de clients... et construire un business qui leur donne envie de sauter du lit tous les matins !

Hello, moi c'est
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 Maëlane

Après plusieurs années de business, j’ai eu le temps d’en tester, des choses ! Il y a des choses qui ont très bien marché pour le business, mais j’ai aussi connu des échecs et des déceptions à la pelle…

Je vous raconte dans cet article mon top 5 des “bides”, aka des stratégies ou des choix qui n’ont pas du tout fonctionné pour moi.

1 – Lancer une offre sans en avoir réellement envie

En janvier 2020, j’ai sorti une offre d’accompagnement individuel 1:1 en visio, sur 3 mois, pour créer, gérer et développer sa micro-entreprise.

Sur le papier, c’était parfait : je faisais mes premiers pas dans la formation business, avec une offre “simple” (pas de contenu à créer en amont, pas de technique à gérer, etc) ce qui me permettait de me faire la main et de gagner en expérience.

Sauf que mon esprit était ailleurs. A l’époque, j’avais déjà eu l’idée de la Micropreneure Academy (sous forme de membership – premier format de l’Academy).

J’ai donc très peu communiqué sur mon offre d’accompagnement individuel : un mail, trois stories et basta. Je n’ai eu aucun appel découverte ni message de prospects… bref aucun client. Et cette offre est tombée aux oubliettes dès le lendemain…

Ce que j’en retiens : On peut lancer des offres par effet de mode ou stratégie, ou parce que c’est “le choix de la raison”, mais si on ne se sent pas aligné, si ça ne correspond pas à ce qu’on a vraiment envie de proposer, on va avoir des difficultés à communiquer et à vendre. C’est beaucoup de temps perdu.

(PS : Je ne dis pas ici qu’il faut zapper la case “prestations 1:1 / accompagnement individuel” et proposer directement des produits digitaux. C’est une mauvaise idée selon moi, j’en ai parlé dans l’épisode 60 “démarrer son business par des produits numériques : fausse bonne idée ?)

2 – Proposer un membership pour avoir des “revenus récurrents”

Fin 2019, j’ai eu l’idée de proposer un membership (= un produit digital sous forme d’abonnement, un peu comme le netflix de l’entrepreneuriat, avec un paiement mensuel ou annuel pour accéder à tout un tas de contenus).

A cette époque, c’était vu comme la solution “idéale” pour générer facilement des revenus récurrents.

Sauf que très vite après son lancement (3-4 mois), j’ai vu les (grosses) limites de ce business model :

  • L’impression de passer mon temps à créer du contenu puisque chaque mois il y avait de nouvelles choses à proposer
  • Besoin de faire beaucoup de ventes pour atteindre un chiffre d’affaires raisonnable
  • L’impression de délivrer énormément de valeur pour un prix faible (même si j’aurais pu / dû augmenter les tarifs)
  • Ça attirait une clientèle peu investie (normal quand on paie que 30/40€ par mois ça ne “filtre pas”)
  • D’un point de vue pédagogique, il y avait trop de contenus dans tous les sens, or mes clients avaient besoin plutôt d’une méthode guidée de A à Z

A lire ou écouter : 64. Lancer un produit qui marche : 18 mois de travail sur la Micropreneure Academy

3 – Me forcer à me nicher pour “me démarquer”… Et avoir choisi un positionnement par défaut

Quand j’ai lancé mon business je voyais partout qu’il fallait se spécialiser pour se démarquer et trouver plus facilement des clients (ce qui est en partie vrai car c’est une des stratégies de différenciation les plus efficaces – mais il y en a d’autres !).

J’ai passé des mois à me demander dans quoi j’allais pouvoir me spécialiser. Je le voyais comme une injonction et je me “forçais” alors qu’au final j’ai un profil aux multi-dimensions.

Au final, j’ai décidé pendant quelques mois de me démarquer en mettant en valeur mon profil de juriste et en créant des contenus sur le juridique. Dans le milieu business / marketing, on parlait peu de l’angle juridique, administratif etc.

Ça a été à la fois un super choix parce que ça rassurait beaucoup de mes clients mais le juridique, bien que ce soit ma formation initiale, ça n’a jamais été mon dada. Au final, ce positionnement m’a collé à la peau pendant très très longtemps, encore aujourd’hui alors que ça fait 2-3 ans que je ne fais plus de contenus sur le juridique et que je ne me mets plus cet aspect de mes compétences en avant !

4 – Répéter une routine matinale d’enfer

Je me suis longtemps intéressée aux routines matinales dans l’objectif d’être plus efficace et en forme.

J’ai essayé une routine matinale début 2022. Je ne travaillais qu’à 10h et avant ça, je prenais du temps pour moi (notamment une heure de sport, de la marche, un bon déjeuner, de la lecture…).

Sur le papier, et les premières semaines, c’était parfait : j’étais motivée et en forme le matin, ma séance de sport était priorisée (au lieu de l’annuler tous les soirs par flemme).

Mais ça n’a pas marché sur le moyen terme :

  • L’impression de “perdre mon temps” en attendant 10h pour travailler : je suis plus efficace tôt le matin plutôt qu’en fin de matinée ou l’aprem ! Quand j’avais des choses urgentes à faire, c’était frustrant.
  • La flemme de me lever pour faire du sport et lire des livres 😂

Je suis ensuite tombée enceinte donc j’ai pris un rythme différent mais je n’ai jamais repris cette routine ensuite.

5 – Recruter au feeling et non pas sur les compétences et le savoir-être

On a fait une erreur de recrutement en freelance l’an dernier avec Leïla qui nous a beaucoup appris sur le recrutement et le management.

Pour un poste, on hésitait entre deux profils :

  • L’une cochait toutes les cases en termes de compétences, de savoir-être et de savoir-faire
  • L’autre nous plaisait énormément par sa personnalité, sa présence, son caractère solaire mais on sentait qu’il y avait des faiblesses (par rapport au profil n°1) dans les compétences et l’expérience

Au final on a recruté au feeling et on a pris le profil n°2 parce qu’on cherchait une personne avenante, solaire, joviale.

Sauf qu’on a perdu énormément de temps. On n’a pas été assez au clair sur nos attentes et nos doutes se sont confirmés : le profil ne correspondait pas à ce qu’on recherchait en terme de compétences et de savoir-être.

On a donc été obligées de recruter une deuxième personne 3 mois après et de recommencer tout l’onboarding.

Notre erreur :

  • Avoir recruté au feeling sans faire un choix “de raison”… Le feeling ça ne fait pas tout loin de là !
  • Ne pas avoir prévu suffisamment de tests / mises en situation / entretiens : le process de recrutement était trop faible
  • Ne pas suffisamment avoir communiqué nos attentes et attendu trop de temps avant de recadrer la personne : il y avait déjà du ressentiment

A lire ou écouter : 96. Déléguer : mes 6 meilleurs conseils (pour éviter de perdre du temps et de l’argent)

Si vous souhaitez écouter cet article sur votre plateforme de podcast préférée, c’est par ici :

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