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8 erreurs courantes des entrepreneurs qui se lancent

12 septembre 2022

Création d'entreprise

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Formatrice business pour les métiers du service et de l'accompagnement sur le web.

Ce que ça veut dire au juste : j'aide les solopreneurs à monter leur activité sur le web, trouver (des tas) de clients... et construire un business qui leur donne envie de sauter du lit tous les matins !

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 Maëlane

Erreurs d’entrepreneurs : trois petits mots qui font frissonner. Par contre, si on m’avait dit, il y a quelques années, que j’allais entreprendre… J’aurais bien ri 😄 Comme le commun des mortels, je ne connaissais RIEN au business. Et, qu’on se le dise : avoir un bac +5 en droit des affaires ne sert pas à grand-chose… 🙄

J’avais dans la tête le cliché de l’entrepreneur, costume De Fursac, sourire Colgate, dents bien acérées. Bref : un peu par hasard, j’ai fini par lancer mon business depuis mon canap’, à me demander si j’avais (vraiment) bien fait de quitter les cabinets d’avocats pour l’inconnu.

Presque 4 ans plus tard, 2 business de services lancés et 400+ entrepreneurs accompagnés dans la Micropreneure Academy : j’ai une vision beauuuucoup plus précise des erreurs à éviter quand on entreprend 🚀

Et j’aurais bien aimé la connaître avant, parce que j’aurais économisé un paquet de temps 😅  Alors c’est parti, découvrez les 8 erreurs d’entrepreneurs à éviter quand on se lance !

1) Ne pas valider son idée de business, ni faire le point sur ses envies

En vrai, c’est génial d’avoir des idées. Plein d’idées. Mais il faut garder à l’esprit que c’est un business qu’on crée, pas un loisir. 😕

Est-ce que j’ai suffisamment d’intérêt et de compétences pour développer ce business sur le long terme ? Est-ce que c’est (vraiment) susceptible d’intéresser quelqu’un ? Est-ce que ce projet est faisable, par rapport à mes ressources et mon temps ?

C’est la première étape quand on a envie de se lancer. Mais c’est aussi celle qu’on oublie le plus.

Le problème : les meilleures stratégies ne pourront jamais venir contrebalancer une mauvaise idée de business.

Autre erreur : oublier qu’on a nos propres envies, aspirations, contraintes, etc. L’entrepreneuriat, c’est la liberté et la flexibilité. Alors pourquoi vous enfermer dans des missions qui ne vous animent pas, avec un environnement qui vous contraint ?

Si vous avez envie de voyager, de réduire votre temps de travail, de vous enlever des contraintes : faites donc des choix en conséquence (business model, clientèle cible, offre, etc.).

On a TOUJOURS le choix.

➡️ C’est ce qu’on voit ensemble dans le module 1 de l’Academy : “Construire les fondations de son entreprise”.

2) Vouloir rentrer dans le module et plaire à tout le monde

Il existe très certainement des TAS d’entrepreneurs hyper compétents dans votre niche. Et vos clients n’ont plus envie de voir partout la même communication, les mêmes visuels, les mêmes arguments.

Vous avez besoin, dès le départ, de trouver votre place.

C’est ce qu’on appelle le positionnement : la manière dont vous avez envie d’être perçu.e dans votre marché.

La bonne nouvelle, c’est qu’il existe de très nombreuses façons de vous démarquer. En mettant en valeur votre personnalité, en ciblant une clientèle et/ou une compétence précise, en innovant, etc.

À vous de trouver une stratégie de différenciation qui vous convient, sans vous forcer. Il sera alors beaucoup plus facile pour vous de communiquer et vendre (sans céder à la guerre des prix, par exemple).

➡️ C’est ce qu’on voit ensemble dans le module 2 de l’Academy : “Construire une stratégie business du tonnerre”.

3) Sortir une offre qui ne plaira pas à son client idéal

La plupart des créateurs d’entreprise font les choses à l’envers, et on ne peut pas leur en vouloir. Car il est difficile d’intégrer ce mécanisme : “J’ai une idée d’offre” -> “Je cherche à qui la refourguer”.

Le problème dans tout ça, c’est qu’on oublie de mettre son client au coeur de son offre.

Votre offre, c’est une solution à une problématique spécifique (laquelle ?) de votre client idéal (qui ?).

C’est donc l’étude de votre client idéal (dans les moindres détails, pas juste en surface) qui va précéder la création de votre offre.

Vous pourrez ensuite identifier une problématique précise à résoudre, définir le format de votre offre, la transformation apportée, puis son contenu.

➡️ C’est ce qu’on voit ensemble dans le module 3 de l’Academy : “Construire une offre de services qui se vendra (sans faire un plat)”.

4) Penser que se brader est une bonne stratégie business

Je ne suis pas du genre à vous dire qu’il faut forcément vendre premium (comme on le voit beaucoup en ce moment).

Parce que ça nécessite de l’expérience, une réelle transformation apportée, et une expérience client aux petits oignons. 💪

Par contre, on ne vous demande pas non plus de fixer des tarifs dérisoires. Ça n’est jamais une bonne stratégie :

  • Mauvaise rentabilité = impossible de développer son business (pas de temps off, pas d’investissements…).
  • On attire les pires clients : ça se vérifie 99 % du temps.
  • On envoie un mauvais signal (prix bas = cheap). Iriez-vous manger un tartare de boeuf + frites à 2 euros ?

Autre erreur : fixer ses tarifs au doigt mouillé.

Il n’y a pas de formule magique pour fixer ses tarifs, mais il y a quand même des indicateurs pour ne pas se planter (objectifs, positionnement, valeur apportée, légitimité, etc.).

➡️ C’est ce qu’on voit ensemble dans le module 4 de l’Academy : “Fixer vos tarifs, développer une activité rentable et gérer vos finances”.

5) Prendre la vente du mauvais sens

Quand on pense vente, on a l’image de la personne un peu désespérée et/ou carrément insistante, qui vient nous refourguer des offres dont on n’a pas besoin.

La vente, ce n’est pas ça.

C’est un échange de valeur ➡️ Votre prospect ressent un problème qu’il doit résoudre (même si c’est juste : “me sentir beau” ou “faire plaisir à ma femme”).

De l’autre côté, il y a vous : qui avez les compétences et l’expérience pour l’aider.

L’échange profite donc aux deux : on échange de l’argent contre une solution.

La vente est bien plus une question d’état d’esprit que de stratégies. Si vous restez persuadé.e que vous embêtez votre prospect ou qu’on ne voudra jamais de vous, cela va être difficile.

Une bonne nouvelle : ça s’apprend. Et on n’a PAS besoin d’un système de vente compliqué.

➡️ C’est ce qu’on voit ensemble dans le module 5 de l’Academy : “Vous faire connaître et apprendre à vendre avec aisance vos services”.

6) Penser que la relation client, c’est que pour les “grandes” boîtes

Quand j’ai débuté, mes seules connaissances en matière de relation client se résumaient à ce que j’avais vaguement appris en cabinet d’avocats.

Travail toujours clean et bien présenté, rester concis, anticiper toutes les problématiques et questions, respecter ses engagements, etc.

Mais ça, c’est juste la face immergée de l’iceberg. Parce qu’aujourd’hui, vos clients veulent PLUS qu’un simple produit ou service.

Expérience client travaillée, overdelivery, procress d’onboarding minutieux… La relation client est un terrain de jeu que j’adore !

Une bonne relation client (et customer care de façon générale) peut vite devenir un énorme atout business :

  • Améliore la satisfaction client et votre image de marque.
  • Fidélise vos clients.
  • Favorise la recommandation (bouche-à-oreille).

En plus, ce sont des notions peu ou ou pas maîtrisées par vos collègues entrepreneurs. Un moyen de plus de vous démarquer.

➡️ C’est ce qu’on voit ensemble dans le module 6 de l’Academy : “Gérer, encadrer et enchanter la relation client (pour des clients heureux)”.

7) Considérer qu’on a un “petit business” (et fuir toutes ses obligations)

Soyons sérieux deux minutes : peut-on arrêter de parler de “petit business”, “petite affaire”, et autres qualificatifs ?

Quand on considère notre business comme un hobby (souvent de manière inconsciente), il devient très difficile de piloter convenablement son activité et de faire les bons choix pour développer son entreprise sur le long terme. 😕 Être chef.fe d’entreprise, c’est assumer son activité, la valoriser, la faire grandir et la respecter.

C’est la gérer avec rigueur et transparence (sans faire l’autruche).

C’est la piloter, c’est-à-dire étudier régulièrement les résultats de ses actions et prendre les décisions adéquates.

C’est la protéger, des clients, partenaires et prospects, pour éviter les abus.

C’est pas facile, mais avec un peu d’entraînement, on peut complètement revoir la manière dont on gère son activité (avec de super résultats à la clé !).

➡️ C’est ce qu’on voit ensemble dans le module 7 de l’Academy : “Gérer simplement votre entreprise et prendre votre place de CEO”.

8) Se concentrer sur des détails et s’éparpiller, au lieu de travailler sur le fond

Être occupé ne veut pas dire être efficace. On ne mérite pas une médaille juste parce qu’on est occupé.

On a tous 24 h dans une journée, et entreprendre demande bien souvent de jouer à Tetris avec son emploi du temps.

À vous de vous concentrer sur les BONNES choses. Pas sur des détails, ni une énième stratégie à la mode, mais sur ce qui va réellement faire avancer votre entreprise.

Un exemple : si vous débutez tout juste, 90 % de vos efforts doivent être dirigés vers votre visibilité et votre recherche de premiers clients.

Le reste, vous aurez tout le temps de le voir après !

➡️ C’est ce qu’on voit ensemble dans le module 8 de l’Academy : “Adopter une organisation efficace pour soutenir la croissance de votre boîte”.

Finalement, vous voyez : il n’y a pas de quoi frissonner. Nous faisons tous des erreurs en tant qu’entrepreneurs, cela fait partie du jeu. Ce qui est est important, c’est d’apprendre de nos erreurs et de passer à autre chose. Ne vous inquiétez donc pas si vous avez fait une bourde ! #Oopsie Mais veillez bien à ne pas faire la même deux fois !

Et vous, quelle erreur d’entrepreneur avez-vous déjà commise ? Quelle leçon en avez-vous tiré ?

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